Une défiance vaccinale en forte augmentation depuis la crise Covid-19…. Corrélation avec le retour des maladies « anciennes » ?
Défiance vaccinale certes, mais des vaccins obligatoires tout de même !
Pour les enfants nés avant 2018, seuls les DTP étaient obligatoires. Les autres vaccins fortement recommandés.
Néanmoins, pour les enfants nés après 2018, la liste passe de 3 à 11 vaccinations obligatoires :
– Diphtérie, tétanos et poliomyélite (DTP) (obligatoires depuis 1938, 1940, 1964 respectivement)
– Coqueluche
– Infections invasives à Haemophilus influenzae de type B
– Hépatite B
– Infections invasives à pneumocoque
– Méningocoque de sérogroupe C
– Rougeole, oreillons et rubéole
L’OMS indique que la vaccination prévient environ 2 à 3 millions de décès dans le monde par an.
A noter : Dans certains secteurs d’activité professionnels (tel que le médico-social), tuberculose, hépatite B, typhoïde sont également des vaccins obligatoires !
Pour plus d’informations, rendez-vous sur le site service public : https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F724
La défiance vaccinale s’accroît !
En France, de plus en plus d’individus doutent de la sûreté et de l’efficacité des vaccinsdans le contexte des politiques publiques de santé publique mises en place.
Ils s’interrogent sursur les bénéfices de la couverture vaccinale. Source Gallup – 2019 : 1/3 français ne croit pas que les vaccins soient surs et 1/10 français ne trouvent pas important de faire vacciner leurs enfants.
Voire les refusent complètement. Toujours d’après Gallup, la France serait le pays le plus sceptique face aux vaccins parmi les cent quarante-quatre pays étudiés avec une part grandissante de personnes anti-vaccins.
Les mouvements « anti-vax » se multiplient d’ailleurs. Ils se basent notamment sur quatre principaux arguments :
- tout d’abord les effets secondaires et le manque de recul que nous avons sur les vaccins,
- le principe « contre-nature » du vaccin,
- l’activité profitable des laboratoires dont les intérêts sont éloignés de la santé des individus,
- enfin, la privation de liberté individuelle associée à l’obligation vaccinale.
Défiance vaccinale, quelles conséquences ?
Cette méfiance vaccinale grandissante, met au point mort les taux mondiaux de vaccination depuis plusieurs années (environ 86% pour les DTP, coqueluche et rougeole).
Ces taux sont en-deçà des recommandations de l’Organisation Mondiale de la Santé (95%).
Or, depuis quelques années l’OMS et l’UNICEF unissent leurs voix et alertent sur le retour de maladies disparues (polio et rougeole notamment).
La rougeole atteint son plus grand nombre de cas en 2019 depuis vingt ans.
D’ailleurs la France faisait partie en 2018, d’après l’UNICEF, des dix pays qui concentraient les 3/4, environ, de l’augmentation du nombre de cas de rougeoles.
Dans certains pays, c’est notamment le manque d ‘infrastructures qui empêche la vaccination. En revanche, en France, c’est bien de la défiance vis à vis des vaccins dont il s’agit.
Quant à la polio, ce sont plutôt les pays en voie de développement qui constatent une recrudescence. Mais toujours selon l’OMS et l’Unicef, la résurgence de ces maladies pourraient être un signe annonciateur des déficiences de notre couverture vaccinale mondiale.
Face à la défiance vaccinale, quel rôle l’employeur peut-il jouer à son niveau ?
Dans le cadre de la politique de prévention de l’absentéisme, les employeurs ont la possibilité d’organiser des campagnes de vaccinations sur site pour les salariés qui le souhaitent.
Grippe, tétanos, polio ,… Un médecin se rend, dans vos locaux, afin de vacciner les salariés volontaires selon un planning établi et dans des conditions sanitaires strictes.
Outre prendre part au combat mondial des organismes de santé, en tant qu’employeur, proposer la vaccination à vos salariés répond un double objectif.
D’une part, limiter l’absentéisme en entreprise par la prévention réelle et efficace des maladies. Elle freine la contamination et limite les formes les plus graves de la maladie.
D’autre part, inscrire les campagnes de vaccination dans le cadre de votre politique sociale. En effet, les salariés apprécient de pouvoir se faire vacciner sur leur lieu de travail, plutôt que de devoir prendre rendez-vous chez leur médecin traitant.
Avec ses 35 années d’expérience, Medicat Partner vous accompagne dans l’organisation de vos campagnes de vaccination. Contactez-nous.
Vous pouvez aussi nous joindre par téléphone au : +33 4 77 33 77 00
Comment organiser une campagne de vaccination en toute simplicité ?
Quel que soit le vaccin : antigrippe, tétanos, polio, …
- Premièrement, nous vous fournissons un kit de communication à destination des équipes pour les sensibiliser ;
- Puis nous recueillons, en amont de la campagne, la liste des salariés souhaitant se faire vacciner ;
- Nous mandatons le personnel médical parmi notre réseau de 4000 experts ;
- Si vous le souhaitez, nous pouvons récupérer le nombre de vaccins nécessaires en pharmacie ;
- Enfin, nous vous aidons à organiser le jour J (planning de passage, logistique nécessaire …)
Caroline Noailly-Laporte, et toute l’équipe Medicat Partner.
A votre service,
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